Constat global
En 2013, le CNRS emploie 32 920 personnels :
- 24 955 personnels permanents dont 42,6 % de femmes ;
- 7 965 personnels non permanents dont 43,2 % de femmes.
Parmi les personnels permanents, on dénombre :
- 11 204 chercheur·e·s dont 32,9 % de femmes ; A l’Institut de physique, la proportion de chercheuses est de 20,9 %
- 13 751 ingénieur·e·s et technicien·ne·s (IT) dont 50,5 % de femmes. Elles ne représentent que 33,8% à l’INP :
- 9 702 ingénieur·e·s dont 44,5 % de femmes
- 4 049 technicien·ne·s dont 65 % de femmes
Si la parité est globalement atteinte chez les ingénieur·e·s et technicien·ne·s (à l’exception des ingénieur·e·s de recherche) elle ne l’est pas encore chez les chercheur·e·s.
Source : « La parité dans les métiers du CNRS 2013 », paru en novembre 2012, dont les contenus sont consultables de manière interactive via l’URL : http://bilansocial.dsi.cnrs.fr/ rubrique Parité
Des disparités selon les disciplines et les branches d’activités
En matière de parité chez les chercheur·e·s, on peut classer les disciplines représentées au CNRS en trois groupes :
- moins d’un quart de femmes : les sciences mathématiques et leurs interactions, la physique, les sciences de l’ingénierie et des systèmes, les sciences de l’information et leurs interactions, la physique nucléaire et physique des particules ;
- environ un tiers de femmes : la chimie, l’écologie et l’environnement, les sciences de l’Univers
- plus de 40 % de femmes : les sciences biologiques et les sciences humaines et sociales